Dès aujourd’hui mercredi 18 novembre, les opérateurs, Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free pourront mettre en route leurs antennes 5G en France, date d’activation officielle par l’Arcep, le régulateur du secteur.
Pour activer leur service 5G, les opérateurs doivent franchir deux obstacles : une demande d’autorisation auprès de l’Agence nationale des fréquences (ANFR) [temps de réponse 1 mois à partir de leur dépôt] et recueillir l’autorisation des maires concernés en leur adressant un dossier d’information (DIM). Les opérateurs devrait être prêts à passer à la 5G entre le 20 et le 30 novembre.
La 5G en chiffres
Les fréquences ont été attribuées aux enchères par l’Etat pour 2,789 milliards d’euros.
D’après l’ANFR, Orange, Free, SFR et Bouygues ont déjà prévu 483 stations 5G sur la France métropolitaine : Orange 353 antennes, Bouygues Télécom 67, SFR 54 et Free Mobile 9.
L’ANFR a dénombré 9 villes tests qui sont déjà pourvues d’antennes 5G, opérationnelles ou en cours d’installation : Paris (116), Marseille (95), Lille (89), Nantes (55), Montpellier (54), Lyon (24), Toulouse (22), Bordeaux (19) et Rouen (5), soit 479 déjà prêtes.
Les dangers de la 5G sur la santé
Le déploiement de la 5G conduirait à une augmentation générale et massive de l’exposition aux ondes du sans-fil alors que les dangers de ces technologies sont établis. La technologie de la 5G est efficace sur des petites distances seulement. Elle se transmet mal à travers les solides. Il faudra beaucoup de nouvelles antennes-relais, et la nouvelle architecture du réseau exigera une nouvelle antenne toutes les 10 ou 12 maisons en zone urbaine créant de fait une exposition massive à laquelle nul ne pourra se soustraire.
Le déploiement de nouveaux transmetteurs pour la 5G que l’on trouvera également dans les foyers, les boutiques, les hôpitaux… devrait générer selon les estimations entre 10 et 20 milliards de connexions (réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et bus sans conducteur) et constituera l’Internet des objets. Tout cela augmentera substantiellement l’exposition permanente de l’intégralité de la population européenne aux champs électromagnétiques des technologies du sans-fil. Les dangers de l’exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM) sont déjà démontrés. Plus de 230 scientifiques de plus de 40 pays ont exprimé leur «préoccupation sérieuse» concernant l’accroissement permanent et universel de l’exposition aux champs électromagnétiques par les technologies du sans-fil avant l’ajout du déploiement de la 5G. Ils font référence aux «nombreuses études scientifiques récentes qui ont démontré que ces champs électromagnétiques affectent les organismes vivants à des niveaux d’exposition bien en-dessous des valeurs limites internationales». Ces effets accroissent le risque de cancer, le stress cellulaire, augmentent l’apparition de radicaux libres nocifs, de dommages génétiques, de changements structurels et fonctionnels du système reproductif, de déficits d’apprentissage et de mémoire, de désordres neurologiques et d’impacts négatifs sur le bien-être. Ces dommages n’affectent pas seulement l’homme mais aussi la faune et la flore selon un nombre croissant d’études.
Les dangers de la 5G sur nos libertés
On sait que les Chinois ont déjà développé un système d’information qui permet de contrôler la population, ce qu’elle fait et ce qu’elle pense. Chaque chinois est suivi et noté ! Grâce aux nouveaux outils technologiques, la Chine développe des systèmes très sophistiqués pour suivre encore de plus près le comportement de chacun et l’influencer. En partant d’un banal outil de scoring financier, les chinois bâtissent un puissant système pour noter tous les habitants du pays. Le contrôle social sera un enjeu majeur des prochaines décennies. Et pas seulement en Chine. On sait que la technologie type G5 notamment ou encore les consoles permettront de recueillir une masse d’informations personnelles sur les activités de chacun, les goûts, les affinités, les engagements et les personnalités.
Or nous savons tous que Xi Jinping a été reçu à l’élysée en janvier 2020, s’en est suivi une montée en puissance des installations 5G sur les grandes villes françaises. Le débat de l’assemblée nationale sur la sécurité globale inclut les caméras faciales soi-disant pour contrôler le terrorisme.
D’après-vous, vivons-nous réellement le terrorisme en France ? Un délinquant ou un déséquilibré qui se fait valoir en criant Allah Akbar et voilà que tout l’Orient est dans la ligne de mire du pouvoir. Le véritable terrorisme est celui qu’exerce la macronie sur notre peuple ! Les troupes noires macroniennes payées par les Français pour terroriser les Français, quelle absurdité vivons-nous là !
Consultez