Une journée à surprises
Ce lundi 23 septembre, ouverture du sommet sur l’urgence climatique à l’ONU, seulement 66 pays s’engagent.
Trump s’y invite puis s’en va.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, invite Greta Thunberg, symbole de la jeunesse mondiale face à l’inaction des gouvernements. Greta profita de l’ouverture du sommet sur l’urgence climatique à l’ONU pour secouer les gouvernements.
16 jeunes et Greta Thunberg portent plainte
16 jeunes, dont Greta Thunberg, ont annoncé ce lundi une nouvelle offensive sur le terrain juridique en dénonçant l’inaction des dirigeants de 5 Pays, dont la France, comme une atteinte à la convention de l’ONU sur les droits de l’enfant.
Peu d’assistance au sommet
66 chefs d’Etat seulement se sont engagé. Antonio Guterres espère que des dizaines de leaders annonceront une révision à la hausse de leurs plans de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Mais l’enthousiasme est plus que tempéré : moins de la moitié des 136 chefs d’Etat et de gouvernement qui viennent cette semaine à New York pour l’Assemblée générale annuelle de l’ONU ont demandé à participer à ce sommet. Et de grands absents sont à signaler. En premier lieu, les Etats-Unis, dont le président actuel a annoncé la sortie de l’accord de Paris. Donald Trump a d’ailleurs réservé un petit pied de nez aux écologistes. Le président américain sera bien dans les murs de l’ONU au moment du sommet, mais il parlera… de liberté de religion.
Suite du sommet sur le climat ce mardi.

