L’organisation “Glyphosate 46” œuvre pour la préservation de l’environnement et a lancé une campagne de sensibilisation.
- Pour démontrer que chacun-e d’entre nous a des pesticides dans le corps, le glyphosate en étant le marqueur.
- Pour sensibiliser le grand public, les utilisateurs et les décideurs.
- Pour porter plainte avec force contre les responsables du maintien de ce produit sur le marché pour mise en danger de la vie d’autrui, tromperie aggravée et atteinte à l’environnement.
La campagne de sensibilisation sur le glyphosate s’est poursuivi dans le Lot le Jeudi 28 mars. Des premiers prélèvements d’urines ont donc eut lieu à Cahors avec une cinquantaine de participants.
La Presse en parle & Droit de réponse
Article paru dans La Dépêche du Midi le 29 mars

La Presse fait des erreurs
Droit de réponse et démenti concernant l’article de la Dépêche du 29 mars 2019 sur la Campagne Glyphosate 46 et publié le vendredi.
“Plusieurs éléments sont faux et discrédite Glyphosate 46”
– Le titre parle “d’éventuelles plaintes” alors que les membres de Glyphosate 46 sont décidés à porter plainte sur les 50 prélèvements effectués à Cahors.
– La plainte n’est pas collective mais individuelle et identique dans toute la France.
– Il est inexact de dire que sur les 120 inscriptions du Lot “toutes n’iront pas au bout du bras de fer judiciaire” alors que 110 inscrits sont déterminés à porter plainte.
“Et essentiellement ce passage …”
« des gens se demandent à quoi va réellement servir leur prélèvement, où ira leur argent » avoue-t-il (en me citant). Je n’ai jamais tenu ces propos cités deux fois dont une en accroche en rouge.
1/ Tous les participants savent à quoi sert leur analyse d’urine sinon ils ne seraient pas venus.
2/ Ils connaissent parfaitement l’utilisation des 135 € détaillée dans nos mailing répétés = 85 € d’analyse + 50 €, correspondant aux frais d’huissiers, matériel et frais annexes.